Revenons sur le dimanche 07 avril 2024
C’était l’un des événements les plus attendus par les amoureux de course à pied : la 47ième édition du Marathon de Paris.
3 de nos Tri-runners s’y sont frottés
C'est motivés et souriants qu'ils prennent le départ
Mais l'exigence de ce type de course les rattrape vite
" hors de question qu' Arnaud me rattrape "
" Ne pas lâcher, ne pas abandonner "
" Julie, avec le sourire, malgré la souffrance "
« J’arrivais fatiguée, mais motivée, avec l’envie de faire mieux qu’il y a 2 ans.
La préparation avait été dure mais j’avais tenu mes allures, alors je me disais que ça pouvait le faire !
Finalement les jambes n’étaient pas là et j’ai dû lutter contre les crampes et l’envie d’arrêter cette douleur.
Mais hors de question qu’Arnaud me rattrape ! Alors je finis tant bien que mal en alternant marche et course à pied. »
« Grosses douleurs musculaires et articulaires dès le 17eme km, ce malgré une nutrition/hydratation régulière.
Je finis tant bien que mal le premier semi en 1h48, puis j’ai quand même mis un point d’honneur à ne pas abandonner, à me dire de ne pas lâcher , à finir sans marcher, et même faire le dernier km a 4’35 », en baroud d’honneur, par fierté et pour finir avec panache ! »
« Mon ressenti de la course ?
…il n’est pas très positif tellement j’ai souffert !! »
Julie ne s’étalera pas plus sur son ressenti et nous l’aurons bien compris, cette course a été très dure pour elle mais comme à l’accoutumé, Julie est allée au bout, coûte que coûte, et avec le sourire. «
Bon, ok, ils ont soufferts mais ils retiennent autres choses non ?
Clémence
Un marathon qui aura le mérite de mettre en lumière ce qu’il y a à améliorer.
Je retenterai, mais différemment.
Julie
J’ai adoré partager la prépa et le départ avec les copains et avoir mon chéri et mes enfants qui m’encourageaient sur le parcours.
Philippe
Pas de regrets. J’ai fait + de 20km dans un état second, je n’ai quasiment rien calculé de Paris et ses monuments… mais j’ai pu ressentir l’ ambiance tout le long : public, musique.
Vous l'aurez compris, nos Tri-runners ont bien souffert sur cette 47ième édition du Marathon de Paris, MAIS
ils en ressortent avec pleins de souvenirs, de moments de partage et l’envie de recommencer. Nous pouvons donc dire que nos marathoniens sont juste humains ! Des humains avec une énorme capacité à prendre sur eux, un mental de fou et pour certaines, un bel esprit de compétition (hein Clémence !! :P)
